Ces dernières années ont vu l'émergence de méthodes de dimensionnement basées sur la notion de performance des structures et notamment, la méthode dite capacitive. On se propose dans cette communication de construire des courbes de fragilité à l'aide de la méthode N2 pour deux configurations de murs à ossature en bois. Elles sont comparées à celles obtenues à l'aide d'une analyse dynamique temporelle non linéaire. Parmi les résultats obtenus, on montre que la méthode d'idéalisation bilinéaire du diagramme de capacité à une influence certaine. La comparaison avec l'analyse dynamique montre une surestimation des pics d'accélération menant au dépassement des états limites dans le cas des structures légères. La tendance semble s'inverser pour des structures pesantes.